Pascale Brousse nous ouvre les portes de la green life lors du networking de Spa-A
Le 29 juin a eu lieu le networking au Spa Deep Nature au Saint James & Albany à Paris. En présence des 25 personnes chanceuses d’avoir pu avoir une place. Pascale Brousse nous a ouvert les portes de la vie saine et de cette nouvelle culture qui ne fait que commencer « Les nouvelles pratiques alimentaires detox / green / intégrative »
LE CONTEXTE
Elle nous a expliqué le contexte : tout d’abord : au milieu des années 2000 eut lieu le tournant « healthy ». Les consommateurs se sont interrogés car les scandales alimentaires et de santé se sont succédés suscitant les doutes sur les produits cosmétiques, de vie quotidienne ou sur la nutrition. Cela a fait progresser la notion de bien-être et ce fut l’émergence de la slowfood, du locavore, et nous sommes entrés très concrètement dans l’ère du bio, du local et de la nécessité de savoir d’où viennent les choses, comment elles ont été fabriquées ou élevées. Ce fut le moment de la « local economy »;
Depuis 2010, nous observons un boom du « detox » qui autrefois était nommé « diète ou régime ». La jeune génération des millenials l’ont adopté et ont fait de la detox une pratique glamour et savoureuse. Du coup ce fut la naissance de la « food tech » et de toutes ces start up digitales qui vendent des repas livrables à domicile ou au bureau avec toutes les garanties : gastronomiques, bio, sans gluten, sans lactose, detox. Tout cela est devenu un segment à part entière aussi fort que le yoga et la méditation.
La detox n’est plus perçue comme privative. C’est une véritable révolution !
Nous constatons une vraie appétence pour cela car elle est jointe à la confiance. La nutrition étant de plus en plus associée philosophiquement en concrètement à la cosmétique et aux Spas. C’est le courant de la « clean beauty »
Les gens cherchent l’équilibre dans leur vie en faisant attention à leur hygiène. Se développe l’écoute de soi et de ses besoins fondamentaux.
LES PERSPECTIVES
Que se profile-t-il pour l’avenir ? Les liens entre qualité nutritive et énergie. Oui, la notion d’énergie, de taux vibratoire entre dans des études sérieuses qui démontrent par la mesure qu’un légume qui a été cultivé selon des normes écologiques précises a un taux vibratoire nettement plus élevé qu’un légume cultivé industriellement.
Dans certains articles, on parle même « d’aliments morts » que nous mangeons !
Cette notion et ces mesures sont objectivées scientifiquement (en unités Angström) et cela ne fait que commencer. Nous serons davantage dans la conscience d’une alimentation vivante.S’adjoint à tout cela le principe de « manger en conscience » et de cesser de considérer le corps comme une machine.
Merci Pascale !
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